Prisonniers des politiques

Je suis, comme vous tous, deux fois prisonnier politique : prisonnier des hommes politiques qui décident pour moi sans mon consentement et prisonnier de leurs politiques qui m'astreignent à des obligations que je n'ai pas choisi. Mon seul mot d'ordre : Libérez-nous des politiques !

27 juin 2007

Tout ce qui est à toi est à moi et tout ce qui est à moi est à moi

En pleine discussion avec un ami pour lui expliquer les bienfaits du libéralisme, je lui ai dit : "L'Etat est comme un petit enfant : Tout ce qui est à toi est à moi et tout ce qui est à moi est à moi".
On a donc essayé de trouver quelque chose que l'Etat ne pouvait pas s'approprier.

Tous les biens matériels peuvent être accaparés par l'Etat. Ne payez pas une taxe ou un impôt et vous verrez les huissiers saisir votre bien. On a déjà vu des tentatives
de saisir une voiture juste pour une infraction routière (question 948 page 23 du lien). L'Etat veut votre maison ? Il l'exproprie.

Il en va de même de votre propre corps. Vous voulez donner un de vos deux reins à quelqu'un ? L'Etat vous l'interdit. Vous désirez être enterré dans votre jardin ? Idem.

Vous ne disposez donc ni de votre corps ni de votre futur cadavre...

Par contre, essayez de prendre quelque chose à l'Etat et vous verrez ce qu'il en est.


La seule chose qu'il ne peut vous prendre, c'est votre volonté, votre esprit ou votre âme. Mais il faut avouer que ca fait très 'Archipel du Goulag' comme conclusion.

Tout ce qui est à toi est à moi et tout ce qui est à moi est à moi
colle parfaitement à l'Etat.